Geoffroy Monde

An irreverent, darkly funny, feminist spin on the legend of King Arthur focusing on his runaway daughter, Ysabelle. Perfect for fans of Disenchantment. King Arthur, Britain’s most legendary hero, is now an old drunkard who spends his days slouched on his throne. He owes his former glory to the magic sword Excalibur, which the wizard Merlin forged for him in order to slay the hordes of demons who came to invade the kingdom of Pendragon. That incredible weapon now collects dust—and suffers from a bad case of boredom. Meanwhile, Arthur’s daughter, Princess Ysabelle, is wondering how to flee the marriage her father has arranged with the vile Baron Cumber. Desperate for something different and better, Ysabelle and her father’s sword join hands and set off on a quest to change their fates. But although Ysabelle is brave, she’s never ventured outside before—and the real world is much harsher than life within the palace walls. In order to survive and accomplish her quest, she must rely on Excalibur, as her father did before her. But Excalibur’s intentions may not be as noble as they seem . . .

Après « Le Mystère du monde quantique » et « Sous Terre », Mathieu Burniat revient avec « Furieuse », une pure fiction scénarisée par Geoffroy Monde (« Poussière », « Comment réussir » et « De rien »). Le roi Arthur, celui de la légende ? Un vieil ivrogne décrépit qui passe ses journées vautré sur son trône. Sa gloire désormais bien lointaine, il la doit à l'épée magique que Merlin lui a forgée pour terrasser les hordes de démons venues envahir le royaume de Pendragon. Devenue témoin de sa déchéance, l'arme enchantée s'ennuie ferme tandis que la princesse Ysabelle fulmine car son débris de père l'a promise en mariage à l'ignoble petit baron de Cumbre. Toutes deux bien décidées à se trouver un meilleur destin, Ysa et l'épée s'allient pour fuir le château et partir à la recherche de Merlin et de Maxine, la grande soeur disparue. Mais le vaste monde peut se montrer bien cruel pour une princesse qui n'a connu que la vie de palais. Et les intentions de l'épée sont peut-être moins nobles qu'il n'y paraît...